Kotaku forcé de s’excuser après une critique pourrie contre les devs de jeux sexy

Salut les coquins !

 

Il y a peu, Kotaku s’est lancé dans une horrible campagne de dénigrement à l’encontre des jeux et développeurs de jeux pornos.

C’était tellement triste à voir que j’aurais dû mettre de côté ma dignité pour en parler – du coup, je ne l’ai pas fait.

Maintenant que les braises de cette histoire refroidissent, voici comment ils se sont excusés : https://kotaku.com/an-apology-1838490733

Il semble que même les “Normies” aient une limite quant à la bassesse. Et elle est plus élevée que ce que certains journaliste de bas-étage l’espéraient.

Pour cet article, en gros, quelqu’un est allé chercher sur le net, puis a cherché encore plus loin jusqu’à trouver les poubelles d’internet, s’est plongé dedans et en a exposé le contenu.
Mais ce n’était pas assez, alors la journaliste de Kotaku a creusé jusqu’à tomber sur les couches les plus crados. Là, elle a finalement trouvé un post qui décrit le projet que Tête_De_Gland_Random_666 développe dans sa cave.

Cette journaliste est ensuite montée sur les grands chevaux de la morale, a escaladé la montagne de la bien-pensance, s’est tournée vers nous et a utilisé cette merde immonde comme exemple pour nous expliquer comment tout le milieu de l’industrie du jeu sexy devait faire mieux !

Apparemment, personne n’a pris le temps de réfléchir pour se dire c’était, d’une, absolument dégueulasse, et deux, tout bonnement absurde. Ce serait comme blâmer l’ensemble de l’industrie du jeu mainstream parce que quelques tarés ont produit des bouses telles que :

https://en.wikipedia.org/wiki/Ethnic_Cleansing_(video_game)
https://store.steampowered.com/app/723390/Hunt_Down_The_Freeman/
https://store.steampowered.com/app/252910/Skyscraper_Simulator/
https://itch.io/t/566025/girls-deadly-school-3d-anime-style-rogue-lite-shooter-banned-in-steam

 

La personne qui nous a (anonymement) envoyé cette news l’a même traduite en des termes que l’auteure de l’article, la “journaliste” Kate Gray pourrait comprendre :

Écrire ça, c’est comme écrire que toutes les Kate Gray et autres journalistes “The Whole Kurt Eichenwald Tribe” devraient avoir honte de faire le même métier que Pascal Praud* et devraient faire mieux.

Non seulement cet article était colossalement stupide mais en plus le lecteur moyen ne comprenait pas pourquoi on lui montrait un tel contenu à faire gerber.

Il a évidemment été très difficile pour eux de trouver des réactions calmes et posées dans la section des commentaires.

En voilà tout de même une :

C’EST GENRE… L’ARTICLE LE PLUS PUTACLIC

Genre… y’a eu aucune réflexion ni aucune recherche, c’est pourtant la base du journalisme. Je ne pense pas que l’auteure ait passé 2 jours là-dessus, elle a vu des “mauvais” exemples de porno et s’est dit “Tiens je vais les rassembler depuis Gawker vite fait”.
Pas bien Kotaku, pas bien.”

 

Et voilà pourquoi, mesdames et messieurs, certains d’entre nous ne publient pas TOUT le contenu putaclic sur lequel nous tombons.

Mais bon, Kotaku est le genre de site qui s’enrage dès que quelqu’un sort un jeu avec un nichon ou un pénis non-couvert. Ce niveau d’appel à la vertu et d’auto-complaisance était prévisible. Notamment de la part d’une journaliste qui a l’habitude d’exciter les passions avec le commentaire stupide d’un utilisateur random sur Dark Souls ou de s’enflammer pour des GIFs d’Overwatch sur rule34. Apparemment, elle s’essayait au lancer-franc. Mais encore une fois, rassembler les pires contenus pédo-pornos qu’internet a à offrir ne donne jamais rien de bon, quelque soit la précision de votre tir.

Il semble que personne de la génération précédente n’aime suffisamment Kate pour lui poser cette simple question : “Pourquoi penses-tu qu’aussi peu de publications, voire aucune, ne mette en ligne les photos des pires scènes de crimes ?”

La raison pour laquelle personne ne se compare à Jack L’Éventreur ou à Elizabeth Bàthory, c’est parce que la plupart des gens comprenne qu’on ne peut pas résumer toute l’humanité à ces deux personnes. Inutile de s’abaisser à cela pour faire montre de notre vertu. (Même pour les gens comme nous qui travaillent dans l’industrie du jeu coquin.)

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