En commençant Space Rescue, la première chose que j’ai remarquée c’est la super ambiance sci-fi casual qui ressort de son intro. C’est tranquilou, mignon et me fait me sentir aussi bien que si j’en avais fumé un gros…
Côté histoire : le perso principal est un nerd auquel j’arrive à m’identifier d’une certaine manière. Il commence par bosser comme mécano sur un Vaisseau de Secours où tout ce qu’il a à faire c’est de réparer ce qui doit l’être. La capitaine du vaisseau est évidemment tellement sexy que j’ai hâte d’avoir quelques “réparations” à faire sur elle. Il faut ajouter qu’il s’agit d’un visual novel, qu’il y a beaucoup à lire et que je suis assez portée sur tout ce qui est dialogues cochons et sales. Et ceux-là sont un peu softs à mon goût.
Pour arriver à la partie “intéressante”, il faut un peu grinder, mais ça finit par payer.
Niveau design : le menu est bien structuré, il est facile d’y naviguer et de trouver quelles parties du vaisseau ont besoin de vos talents ! La partie visuelle est réussie, mais… on ne peut parfois pas échapper au visage un peu niais de notre perso ! Hihihihi !! J’ai vraiment eu une bonne sensation d’aventures interstellaires et de sexe dans l’espace. Genre, moi seule sur un vaisseau avec plein de trucs à réparer et plein de filles… des filles canons.
Il y a différents sets de personnages, ce qui est une bonne chose, mais si vous aimez vraiment le style japonais, passez votre chemin. Le jeu est entièrement réalisé dans le style du comic européen.
À propos du jeu en tant que tel, j’ai aimé les petites énigmes à résoudre grâce aux différentes tâches que nous assigne la capitaine sexy.
Je pourrais bien passer un peu de mon temps sur ce jeu.
