Salut les coquins !
Comme la plupart des jeux similaires, Nympho Trainer traite principalement de BDSM. Personnellement, je préfère que le thème du BDSM soit abordé de manière un peu plus sombre que le mode cartoon que l’on nous propose ici. Mais je suis sûre que ça excitera quand même pas mal de monde.
Attendez-vous à toute une artillerie de jouets avec lesquels faire vos petites affaires. Vu comment la VR s’est établie, je sens que les gens vont y venir pour assouvir leurs obsessions avec des gadgets virtuels et y rester grâce au storytelling et au gameplay. Mais seul l’avenir nous le dira. En attendant, il y a de quoi s’amuser avec des fouets ou des godes et il y en a pour tous les goûts.
Le jeu offre un niveau satisfaisant de personnalisation des filles. Peut-être pas autant que les différents fans de hentai le voudraient, mais quand même. Que vous souhaitez une fille à la peau bleue ou une fille baraquée, vous pourrez passer du bon temps à les customiser. Et si c’est ce qui vous excite, vous pourrez même créer une mort-vivante tout à fait convaincante. Malheureusement, vous n’aurez pas de gémissements de zombie, mais ça viendra peut-être. Il y a de l’espoir pour l’avenir.
Pour ma part, je préfère passer mon tour tant que la VR reste bancale et y revenir quand elle sera capable de sortir de bons jeux. Selon moi, les bons jeux peuvent nous pousser à acheter du matos dont on n’aurait rien à foutre autrement. À l’inverse, par exemple, des consoles que les fabricants pensent qu’on va acheter juste parce qu’ils ont collé un nouveau numéro dessus.
La diversité des contrôles dans Nympho Trainer est dans la moyenne. Plus que dans certains jeux, moins que dans d’autres, mais suffisante pour faire un peu de roleplay. Parce que sinon, pourquoi se payer un donjon virtuel alors que le vrai monde en propose.
Je ne vois pas trop où se trouve l’intérêt de pouvoir habiller vos filles, mais il y a une garde robe qui vous occupera un moment si c’est votre truc.
Le bon côté c’est qu’ils ont pris en compte le fait que vous ayez besoin d’avoir les mains libres. En effet, les filles jouent elles-mêmes avec certains objets, contrairement aux jeux plus anciens où elles se contentaient de rester assises à attendre que vous fassiez tout le boulot. Ils ont compris que vous deviez parfois n’utiliser qu’une seule main
Si vous y jouez sur Steam, il vous faudra probablement un patch qui retire la censure. Mais les autres plateformes sur lesquelles vous pouvez trouver le jeu ne vous ennuieront pas avec ça.
Ce n’est évidemment pas le meilleur jeu de VR du monde. Ne vous attendez donc pas à un panel complet de mouvements. On se retrouve parfois coincé dans certaines activités sexuelles. Mais vu qu’on n’avait rien du tout dans ce genre il y a encore quelques années, on ne va pas bouder notre plaisir.
Mon conseil c’est d’y aller doucement, de commencer avec des trucs classiques et monter en intensité tranquillement. L’architecture du jeu n’est pas très profonde, donc si vous y allez en mode berzerk dès le début, vous aurez l’impression qu’il n’a pas grand chose à offrir. C’est le risque avec ces jeux qui vous permettent de “créer votre propre gameplay” dans un bac à sable sans progression ni objectif.
Qui sait, vous pourriez bien être une de ces personnes qui appréciera simplement parce que vous pourrez jouer avec les coupes de cheveux de vos filles. 🙂
La principale critique que l’on pourrait faire porte sur le manque de diversité des corps. Tout le monde n’est pas fan des corps minces semi-pédo de lycéennes. Mais c’est peut-être un problème insurmontable pour le moteur qu’ils utilisent. Varier les types de corps nécessite plus de travail sur l’anatomie et le physique et ils ne se sont peut-être pas donnés cette peine.
Vu la génération de VR dans laquelle nous sommes, on peut s’attendre à ce que ce soit légèrement bancal, notamment quand on essaie de faire de petits mouvements comme bouger les mains de la fille ou ajuster sa position. Si vous n’êtes pas déjà habitués à ces sandbox en réalité virtuelle, vous regretterez sûrement l’absence de tutoriel.
Le sound design est moyen. Certaines modélisations ont des tendances au glitch quand on essaie de bouger alors qu’on n’est pas censé en être capable. Nettoyer ces bugs graphiques devraient être la priorité pour profiter d’une expérience immersive mais on ne peut pas trop en demander à un jeu VR de milieu de gamme.
Et que penser d’un jeu qui ne propose aucun audio sur son écran d’accueil ? Pas besoin de se lancer dans des orchestrations à la Skyrim ou Icewind Dale, mais une petite musique qui donne le ton aurait été appréciée avant de se lancer dans le dur.
Ils sont clairement essayé de faire plaisir aux joueurs non-VR, du coup ils ont mis l’accent sur le sexe et les kinks plutôt que sur la cohérence des détails de réalité virtuelle. Globalement, c’est tout à fait correct. Et maintenant que ces devs ont de l’expérience dans le domaine, le prochain jeu pourrait être vachement intéressant s’ils s’en donnent la peine.
En résumé : mettez des filles-chats, ajoutez du bondage et vous aurez des joueurs heureux qui vont s’amuser sur votre jeu.